Les pollutions, une menace pour la pêche fluviale ?

Introduction : Qu’est-ce que la pollution de l’eau ?

Selon la définition du site du Service public d’information sur l’eau, la pollution d’un milieu tel que l’eau est le “fait d’introduire une substance ou de la matière susceptible de porter atteinte à son fonctionnement, à la biodiversité qui s’y déploie ou à la santé des êtres humains : un rejet d’eau chaude dans une rivière, par exemple, est susceptible de modifier fortement la température, altérant le milieu où évoluent de nombreuses espèces. En revanche, tous les rejets ne sont pas synonymes de pollution : lorsque les substances sont éliminées par les capacités naturelles d’autoépuration du milieu, elles n’ont pas de conséquence sur l’environnement ou la santé.” (1). On parle donc de pollution quand on déverse dans l’eau une substance composée d’éléments dont les propriétés physiques et chimiques sont différentes du milieu originel, de sorte à ce que les propriétés de ce milieu en soient altérées. On peut différencier alors les pollutions naturelles et les pollutions dues aux activités humaines. Pour les pollutions naturelles d’une part, on distingue quatre catégories de polluants : les agents physiques (matière inerte insoluble pouvant rester en suspension dans l’eau), les agents chimiques organiques (ruissellement dans les zones végétales), les agents chimiques inorganiques (solubilisation de sels et ions par lessivage) et les agents biologiques (organiques ou inorganiques) (2). Quant aux pollutions d’origine humaine, elles regroupent des polluants chimiques (produits ménagers, produits chimiques industriels, pesticides, engrais, hydrocarbures…), des polluants bactériologiques (eaux usées, fumier … ), des polluants organiques (matière organique d’activités agroalimentaires par exemple qui apporte un excès de nutriments au milieu et favorise l’eutrophisation) (3), et des polluants physiques (matière inerte, déchets … ) voir même radioactifs. Nous nous concentrerons dans cette étude sur la pollution liée aux activités humaines. 

Il peut y avoir plusieurs types de pollutions anthropiques selon leur source :

  • les pollutions ponctuelles, dont la source est clairement identifiée. Ce type de pollution est causé par un événement singulier comme le rejet de substances toxiques dans une rivière par une usine. Dès lors, la source peut être clairement localisée.
  • les pollutions diffuses, dont la source est plus difficilement identifiable. Comme l’indique le site eaufrance.fr, “c’est notamment le cas des pollutions provoquées par les traitements appliqués sur les sols et la végétation”. Cela peut aussi être le cas des substances déposées dans l’eau par les objets en contact avec cette dernière. Généralement, les pollutions diffuses sont causées par une utilisation humaine de produits chimiques dont les dépôts présents sur le sol sont entraînés vers les cours d’eau par les eaux de ruissellement lors des évènements pluvieux ou bien infiltrés dans le sol lors du même événement.

Ainsi, il y a de nombreux moyens de polluer un cours d’eau. Même si l’identification du type de pollution et de la source de cette dernière peut s’avérer compliqué, les politiques publiques ont pour mission d’empêcher que les conséquences de ces dernières ne soient désastreuses. Il faut pour cela identifier rapidement la pollution et sa source afin de pouvoir commencer à régler le problème. De plus, ils peuvent sanctionner les responsables afin d’éviter un nouvel épisode de pollution. Cette étude traite de cas de deux exemples de pollution de cours d’eau au sein de la métropole tourangelle.

I. Les pollutions de l’eau en France

Les risques de pollution et de contamination des cours d’eau de surface représentent des menaces pour de multiples usages que ce soit la pêche, les prélèvements pour l’eau potable, les loisirs, l’habitat … 

Un sondage d’opinion des français sur les causes principales de dégradation de l’état de l’eau de 2018 par les agences de l’eau, l’Office Française de la Biodiversité (OFB) et le Baromètre sur l’eau, révèle que ce sont les pesticides qui sont largement considérés comme la principale menace pour les rivières : 

Sources : agences de l’eau ; OFB, Baromètre sur l’eau (Ifop 2018)

Néanmoins, le facteur déterminant pour ces réponses est l’âge des participants : les moins de 35 ans évoquent moins que leurs aînés les pesticides mais citent plus fréquemment le changement climatique et les substances dangereuses (4). Néanmoins, les données statistiques datant du panorama 2007/2008 de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL), soutiennent que la part relative des secteurs source de pollution s’élève à 50% pour l’agriculture, 35% pour les rejets urbains et 15% pour l’industrie. Ces parts varient ensuite en fonction des types de polluants puisque pour certains particulièrement toxiques, la part d’origine industrielle est plus importante (5) pouvant ainsi engendrer des conséquences plus délétères pour l’environnement. 

Les directives communautaires, au travers des arrêtés préfectoraux, encadrent les seuils d’acceptabilité de rejets industriels dans le milieu naturel. Ces derniers doivent donc traiter leurs eaux résiduaires via une station d’épuration, toutefois certaines stations ne sont pas aux normes et des rejets significatifs occurrent toujours même si la quantité de ces rejets que ce soit par l’industrie ou les stations de traitement des eaux usées urbaines (notamment en phosphore et oxygène) a nettement diminué de 2008 à 2013 (5). Toutefois, M. Buzance de la fédération de pêche d’Indre-et-Loire, met en avant l’augmentation du seuil de tolérance de certains éléments comme les nitrates, qui passe de 25 mg de seuil maximal pour considérer un “bon état” des eaux à 50 mg dès 2007. 

Le Barpi (Bureau d’analyse des risques et pollutions) a enregistré en 2017, 82 cas de pollution des eaux de surface à cause d’accidents technologiques. Sur ceux-ci, 9 ont également contaminé les eaux souterraines.  La base de données du Barpi comprend un inventaire des accidents technologiques au nombre de 1 630 accidents en 2017. Les responsables principaux pour près de 67% sont les installations classées (6). Cependant, il est à penser au vu de la fréquence des épisodes de pollution locale relevés à la fois dans la presse et par les acteurs locaux de l’eau, que ce chiffre ne prend pas en compte les accidents mineurs provenant des petites industries ou stations d’épuration ou encore les pollutions dont l’auteur n’a pas pu être retrouvé. 

II. Pollueur inconnu à la Fontaine du Mié 

Le 31 octobre 2020, une forte odeur d’essence venant du petit ruisseau de la Fontaine du Mié, le long de la rue de Suède, à Tours-Nord, alerte les riverains. La ville et les pompiers sont contactés par Laurent Rimasson, le président de l’association des Douets de Tours (l’association du quartier), et se rendent sur place afin de constater l’étendue des dégâts : des hydrocarbures s’étalent sur près de 500 mètres le long du cours d’eau. Plusieurs oiseaux, poissons et batraciens sont retrouvés morts. En conséquence, 3 barrages flottants et filtrants sont installés sur la zone et deux pompages de la nappe d’hydrocarbure sont mis en place afin de dépolluer entièrement le cours d’eau.

© Photo La Nouvelle République  Barrage posé sur le ruisseau, à l’angle des rues de Suède et de Turpenay.

Cependant, la cause de la pollution de la Fontaine du Mié, et donc de la Petite Gironde en aval, est toujours inconnue. Le rapport du SIDS (Services Départementaux d’Incendie et de Secours) qui inspecte chacune des évacuations débouchant sur le cours d’eau, et celui de l’entreprise de pompage SOA, devrait permettre d’avoir plus de réponses. La ville de Tours a dans tous les cas saisi le procureur de la République, afin de condamner le coupable. “La saisie auprès du procureur de la République a plusieurs enjeux. Elle doit sanctionner les responsables, dissuader les futurs pollueurs et frapper les consciences. Chacun doit être respectueux de l’environnement. Cette rivière est un milieu vivant, on y croise des poules d’eau, des canards, des ragondins, des alevins, des batraciens. Sans oublier les plantes qui jouent un rôle filtrant”, développe Christopher Sebaoun, conseiller municipal délégué à la préservation du patrimoine fluvial et des ressources aquifères. C’est également une nouvelle leçon pour la ville qui promet de mettre en place des protections à la sortie des buses et de permettre aux pompiers d’intervenir rapidement avec  un plan du réseau des eaux pluviales et des eaux usées (7)(8)(9).

III. Un cas fréquent ?

Ce n’est pas le premier cas de pollution dans les hydrosystèmes des environs : selon Alain Bertrand, président du comité de quartier des Douets Milletière, “ce n’est pas la première pollution de la Petite Gironde. Le ruisseau collecte les eaux de pluie mais aussi celle de la zone industrielle. Les gens prennent le ruisseau pour une poubelle. On y retrouve de tout, gravas de chantier, machine à laver…(10).

Ces pollutions sont même récurrentes. “En 2014 je crois, c’était de la soude” nous a confié Damien Buzance, chargé d’études à la Fédération de pêche d’Indre-et-Loire. “On constate régulièrement des mortalités et des rejets d’hydrocarbures, de soude… j’avais vu en 2016 des lessives” ajoute t-il. Les pollutions sont parfois difficilement observables comme il est difficile d’y remédier, notamment les pollutions diffuses agricoles qui vont avoir un impact sur certains paramètres hydriques, comme le taux de nutriment. 

Des événements plus ponctuels ont également lieu. Ainsi, en début d’année, le malfonctionnement d’une pompe de relevage permettant d’envoyer toutes les eaux de la partie haute de la commune de Larçay vers la Grange David, la grande station d’épuration de Tours, a induit le rejet de toutes ces eaux usées directement dans le Cher.

Un mois avant l’affaire de la fontaine de Mié, le ruisseau de Saint Roch est aussi pollué, nécessitant une intervention immédiate. L’origine de la pollution est néanmoins identifiée : des travaux de la station d’épuration gérée par Véolia sur le ruisseau ont entraîné un déversement de boues malodorantes. L’alerte est donnée le 21 septembre 2020, et plus d’une centaine de poissons morts sont retrouvés dans une eau épaissie par des boues d’épuration et des dépôts blanchâtres et fibreux. Damien Buzance ajoute que “l’impact est sans commune mesure sur le milieu, et le rejet était toujours en cours”. Il détaille les actions prises en conséquence: “Une fois la constatation de terrain faite, nous avons tout de suite contacté les services et personnes compétents et concernés, c’est-à-dire l’Office Français de la Biodiversité (OFB) et la Direction Départementale des Territoires (DDT), ainsi que la mairie, propriétaire de la station”. Cependant, Véolia ayant réalisé d’importants travaux sur la station d’épuration nécessitant la vidange du bassin mi-septembre, il est difficile d’arrêter de suite la pollution. Les rejets continuant le lendemain, la presse et l’opinion publique sont impliquées dans l’affaire. Au bout de 24/48h, Véolia met en place un système qui permet de récupérer une partie des eaux et de les évacuer sur une autre station d’épuration avec un transport camion pour limiter la pollution jusqu’à la fin des travaux (11).

Cependant une telle pollution n’aurait pas dû avoir lieu. Et si ces travaux ont été effectués avec l’accord de la Direction Départementale des Territoires, ils ont seulement entraîné un pré traitement des eaux et non un traitement complet. Le directeur territorial de Véolia, Bruno Longépé, a reconnu que l’impact sur le milieu naturel a été plus fort que prévu en raison des faibles pluies de l’été. Le débit du cours d’eau aurait dû être quatre fois plus élevé. Les travaux avaient donc été programmés à cette période de l’année pour faciliter la dispersion des rejets. Cependant, Véolia est toujours critiquable, engendrant tout de même une pollution, même diffuse, ne s’adaptant pas aux conditions concrètement observées en été et n’attendant pas un flux plus important.

Malgré l’assurance du directeur territorial que Véolia aidera au rempoissonnement, Damien Buzance craint que cela soit insuffisant et que la pollution ait des répercussions à long terme, par exemple sur le nombre de poissons. Il préconise une recolonisation naturelle du milieu, “soit par les petits effluents ou les poissons ont pu se réfugier, soit par l’amont aussi de la station où ils ont pu être épargnés, soit par l’aval.” Malgré la situation, ces observations sont “l’occasion d’acquérir de la connaissance et voir à quelle vitesse ce type de milieu peut se recoloniser à la suite de ce genre de pollution”. 

La fédération de pêche d’Indre-et-Loire a, de ce fait, déposé une plainte, qui sera étayée avec un dossier d’estimation de dommages pour évaluer l’impact de ce rejet. De sont côté, la fédération de pêche possède une station 1.5km plus bas sur laquelle des suivis piscicoles sont réalisés, dont un en 2018. Ainsi, 1km plus bas et sur 65m, 450 poissons et 4 à 5 espèces avaient été échantillonnés, pour aucun une semaine après la pollution.

IV. Un autre exemple en dehors de Tours Métropole : pollution à Monts

Le 18 Septembre 2020, la préfecture d’Indre-et-Loire et la DREAL sont prévenues qu’un produit pharmaceutique est déversé dans l’Indre, à Monts. Les incertitudes sur sa dangerosité et la possibilité d’ingestion via la consommation de poissons entraînent une interdiction de pêche sur l’Indre, entre Monts et Rigny-Ussé. L’alerte est donnée par le CEA (Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives) qui observe des poissons morts et effectue un prélèvement pour la qualité de l’eau le 12 septembre. 

C’est le faible débit de l’affluent de la Loire qui inquiète désormais les autorités. Cela pourrait en effet avoir de lourdes répercussions sur la biodiversité du cours d’eau. Ainsi, la fédération de pêche décide de porter plainte contre le laboratoire pharmaceutique Recipharm, qui reconnait avoir déversé par erreur 2 mètres cubes de Bupivacaïne, un anesthésiant, dans la rivière. Selon eux, c’est une mauvaise manipulation dans la production, en date du 7 septembre, qui est à l’origine de cette pollution. Le 21 septembre dernier, la DREAL diligente une inspection sur le site du laboratoire. Durant la même journée, de nouveaux prélèvements sont effectués dans la rivière, afin de décider ou non de la reprise de la pêche et des activités de navigation dans le secteur. Quant au parquet, il ouvre une enquête pour pollution. 

De nouveaux prélèvements ont été effectués le vendredi 25 septembre au niveau du site du CEA, toujours à Monts. Afin de mieux détecter l’éventuelle présence de résidus de pollution dans l’eau, ces derniers ont été envoyés dans un laboratoire lyonnais, l’un des seuls à être en mesure de trouver les infimes traces restantes de ce produit chimique. Dans le même temps, l’inquiétude est montée chez les utilisateurs de l’Indre, pêcheurs et habitants, qui ont craint des répercussions sur leur santé alors qu’ils avaient côtoyé la rivière durant la période située entre le moment de la pollution et la découverte de cette dernière. Une dizaine de jours plus tard, le 13 octobre, les résultats des différents prélèvements reviennent du laboratoire de Lyon. Ces derniers indiquent que la qualité de l’eau est revenue à la normale, permettant la levée de l’arrêté préfectoral et le retour des activités autour de l’Indre. D’autre part, le procureur de la République, Grégoire Dulin, affirme qu’une réponse pénale devrait être rendue sous un mois, alors que les responsables du laboratoire pharmaceutique et les différents agents concernés sont entendus. Finalement, la pêche a pu faire son retour sur l’Indre, entre Monts et Rigny-Ussé, le 21 octobre dernier (12) (13). Des situations comme celle-ci, entraînant une fermeture de la pêche sur une partie du cours d’eau, sont tout de même relativement rares. 

Conclusion

Ces différents exemples illustrent une problématique encore bien présente dans l’agglomération tourangelle, et partout en France. Si des situations de pollutions extrêmes dans les cours d’eau sont assez rares, les cas récurrents de pollutions plus minimes peuvent avoir un impact important sur le milieu naturel, parfois difficilement mesurable. Si des directives sont mises en place et les différents acteurs se mobilisent, certains facteurs compliquent les situations. Tous les réseaux ne sont pas connus, notamment dans des zones avec une grande concentration d’entreprises et d’usines, certaines infrastructures ne sont pas à la pointe de la technologie, ou même aux normes, les temps de travaux de réhabilitation sont en général assez longs et les coûts importants. Une dualité temporelle apparaît ainsi entre la rapidité des pollutions, comme dans l’exemple du Saint Roch, qui induisent une rapidité de réaction, et la lenteur des travaux à réaliser. De plus, les événements tendent à montrer une absence notable de pro-action vis-à-vis des pollutions. Il semble souvent nécessaire qu’une pollution soit constatée pour amener une réaction et un retour aux normes qui, normalement, auraient dû être respectées depuis le début. La question se pose de savoir si le coût nécessaire à la réparation d’un tort n’est pas en réalité plus élevé que le coût de sa prévention. En effet, en plus du coût de la mise aux normes, des amendes très élevées peuvent être données. En 2008, la société Synthron a reçu 105 000 euros d’amende et plus de 160 000 euros de dommages et intérêts pour avoir causé une grave pollution dans la Brenne, en 2004 (14)

D’autres infractions, comme des aménagements de continuité illégaux ou des curages, peuvent également nuire à la bonne santé et gestion des milieux aquatiques. Toutes ces situations impactent à la fois l’environnement naturel, mais également les activités humaines qui peuvent en bénéficier, comme la pêche amateure ou professionnelle. Une bonne gestion des risques et prise en main de la situation, de concert entre plusieurs acteurs est nécessaire. 

Comme l’a conclu M. Buzance, “si tout cela était maîtrisé on aurait déjà des cours d’eau de meilleure qualité avant même d’aller un peu plus loin dans la restauration.”

Bibliographie

1.     Eaufrance. La pollution de l’eau et des milieux [Internet]. Eaufrance. 2019 [cité 28 janv 2021]. Disponible sur: https://www.eaufrance.fr/la-pollution-de-leau-et-des-milieux

2.     Réseau Francophone sur l’Eau et l’Assainissement. La pollution de l’eau d’origine naturelle [Internet]. Réseau Francophone sur l’Eau et l’Assainissement. 2020 [cité 28 janv 2021]. Disponible sur: https://www.oieau.fr/ReFEA/module2d1.html

3.     Surfrider Ocean Campus. La pollution de l’eau [Internet]. Surfrider Ocean Campus. 2016 [cité 28 janv 2021]. Disponible sur: https://fr.oceancampus.eu/cours/7Mc/la-pollution-de-leau

4.     Ministère de la Transition Ecologique. Eau et milieux aquatiques – Les chiffres clés – Édition 2020. déc 2020;128.

5.     Ministère de la Transition Ecologique. Essentiels sur l’environnement [Internet]. Données et études statistiques. 2016 [cité 28 janv 2021]. Disponible sur: http://www.donnees.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/lesessentiels/essentiels/Industrie-rejet-eau.html

6.     Laperche D. Pollutions accidentelles des eaux : les chiffres à connaître [Internet]. Actu-Environnement. Actu-environnement; 2019 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.actu-environnement.com/ae/news/Pollutions-accidentelles-eaux-chiffres-connaitre-32782.php4

7.     La Nouvelle République. Tours : à la recherche du pollueur de la Petite Gironde [Internet]. lanouvellerepublique.fr. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/tours-a-la-recherche-du-pollueur-de-la-petite-gironde

8.     Martin C. Tours : la mairie saisit la justice après la pollution aux hydrocarbures de la Petite Gironde [Internet]. France Bleu. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.francebleu.fr/infos/environnement/tours-la-mairie-saisit-la-justice-apres-la-pollution-aux-hydrocarbures-de-la-petite-gironde-1604513159

9.     La Nouvelle République. Tours-Nord : pollution aux hydrocarbures [Internet]. lanouvellerepublique.fr. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/tours-nord-pollution-aux-hydrocarbures

10.     DENIS P. Indre-et-Loire : des poissons morts dans le ruisseau de Saint-Roch après une pollution [Internet]. lanouvellerepublique.fr. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.lanouvellerepublique.fr/indre-et-loire/commune/la-membrolle-sur-choisille/indre-et-loire-pollution-accidentelle-dans-le-ruisseau-de-saint-roch

11.     Compain B. La Choisille polluée sur trois kilomètres au nord de Tours suite à des travaux sur une station d’épuration [Internet]. France Bleu. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.francebleu.fr/infos/environnement/la-choisille-polluee-sur-trois-kilometres-au-nord-de-tours-suite-a-des-travaux-sur-une-station-d-1600870619

12.     Philippot N. La fédération de pêche d’Indre-et-Loire va porter plainte après la pollution de l’Indre à Monts [Internet]. France Bleu. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/la-federation-de-peche-d-indre-et-loire-va-porter-plainte-apres-la-pollution-de-l-indre-a-monts-1600770640

13.     Lasceve C. Monts : la pêche va pouvoir reprendre dans l’Indre, après la pollution [Internet]. lanouvellerepublique.fr. 2020 [cité 15 déc 2020]. Disponible sur: https://www.lanouvellerepublique.fr/indre-et-loire/commune/monts/monts-la-peche-va-pouvoir-reprendre-dans-l-indre-apres-la-pollution

14.     Dupont G. Une société chimique lourdement condamnée pour pollution grave [Internet]. Le Monde. 2008 [cité 29 janv 2021]. Disponible sur: https://www.lemonde.fr/planete/article/2008/07/29/une-societe-chimique-lourdement-condamnee-pour-pollution-grave_1078256_3244.html#:~:text=c%C5%93ur%20des%20territoires-,Une%20soci%C3%A9t%C3%A9%20chimique%20lourdement%20condamn%C3%A9e%20pour%20pollution%20grave,%2C%20la%20Brenne%2C%20en%202004.

Références connexes

  • MINISTÈRE DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE, 2019. Portail d’informations sur l’assainissement communal – Accueil. In : Ministère de la Transition Ecologique [en ligne]